En parlant de budgets qui partent en fumée, c'est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin, non ? Surtout pour les PME qui n'ont pas les mêmes moyens que les gros poissons.
Je pense que le ciblage, c'est la base. Si tu tires à la carabine sur une cible mouvante à 100 mètres, t'as peu de chances de toucher le mille. Faut connaître son audience sur le bout des doigts, leurs envies, leurs peurs... et adapter le message en conséquence. Un peu comme un caméléon du marketing, quoi !
La Comtesse Cousteau a raison, cette image de l'aiguille dans la botte de foin est parlante. Cibler, c'est effectivement la base, mais je pense qu'il faut aussi insister sur la pertinence du message. Connaître son audience, c'est bien, mais encore faut-il avoir quelque chose d'intéressant à lui raconter. L'authenticité me semble également primordiale, surtout à notre époque où les consommateurs sont de plus en plus méfiants vis-à-vis des discours trop marketés.
L'authenticité, oui, c'est un mot à la mode, mais je me demande si les consommateurs savent vraiment ce qu'ils veulent. On leur parle d'authenticité, alors ils disent que c'est ce qu'ils recherchent, mais au final, est-ce que ça se traduit vraiment en actes d'achat ? Je ne suis pas certaine. Il y a un décalage entre le discours et la réalité, je pense.
Perso, je trouve que vous vous prenez trop la tête avec l'authenticitée et le ciblage. C'est bien beau de vouloir faire du "sur mesure" mais faut pas oublier que le temps c'est de l'argent. Et que les PME, elles ont pas forcément les moyens de se payer des études de marché poussées pour savoir ce que madame Michu a mangé au petit dej. On est pas chez L'Oréal là.
Moi, je pense qu'il faut être pragmatique. Tester, mesurer, ajuster. C'est ça la clé. Le growth hacking, c'est pas de la magie, c'est du bon sens. On lance des campagnes, on regarde ce qui marche, ce qui marche pas, et on adapte en conséquence. Faut arrêter de se poser 36 000 questions et foncer. C'est en forgeant qu'on devient forgeron, non ?
Et puis faut pas croire tout ce qu'on lit dans les articles sur le marketing. La plupart du temps, c'est du blabla pour vendre des formations ou des outils inutiles. Je dis pas que tout est à jeter, mais faut garder un esprit critique. Et surtout, faut pas avoir peur de se planter. L'échec, ça fait partie du jeu.
J'ai lu un truc intéressant, je sais plus où, qui parlait de "quick wins". Des actions simples à mettre en place et qui peuvent rapporter gros rapidement. C'est ça qu'il faut viser au début. Pas besoin de se lancer dans des trucs compliqués et coûteux. Et en parlant de liens, j'ai trouvé ça https://www.mediadi.fr/ faut pas hésiter a checker les sources pour avoir une approche simple.
Faut tester des trucs, et itérer rapidement ! Faut un peu d'agilité, d'audace et beaucoup, beaucoup de café. Voila, c'est mon avis et je le partage. Après, chacun fait ce qu'il veut, hein.
Lara Croft, ton approche pragmatique me parle pas mal. C'est vrai que parfois, on se perd dans des considérations théoriques alors que le terrain, c'est là que ça se passe. Tester, mesurer, ajuster, c'est la base du growth hacking, et je suis d'accord que c'est du bon sens. 😉
Par contre, je pense qu'il y a un juste milieu à trouver. Tu dis qu'il ne faut pas se prendre la tête avec l'authenticité et le ciblage, mais si on tire dans tous les sens sans savoir à qui on parle, on risque de gaspiller pas mal de ressources. Même si on n'a pas les moyens de se payer des études de marché poussées, il y a des outils simples et peu coûteux pour mieux connaître son audience. Par exemple, les données de navigation sur son site web, les statistiques des réseaux sociaux, ou même des sondages en ligne. Ces infos peuvent donner des indications précieuses sur les préférences et les comportements d'achat des clients. 📊
L'article que j'ai lu récemment sur le sujet mettait en avant l'importance d'une stratégie omnicanale. L'idée, c'est d'être présent sur tous les canaux de communication pertinents pour son business (réseaux sociaux, site web, application mobile, email, etc.) et de proposer une expérience client unifiée et personnalisée. On parle d'augmentation des ventes, d'optimisation des opérations et d'un renforcement de l'image de marque.
Après, je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il faut tester des "quick wins" et itérer rapidement. C'est en faisant des erreurs qu'on apprend, et il ne faut pas avoir peur de se lancer. Mais je pense qu'il est quand même important d'avoir une vision claire de son audience et de ses objectifs avant de se lancer tête baissée. C'est comme en ski alpin, tu peux foncer à toute vitesse, mais si tu ne sais pas où tu vas, tu risques de te planter. ⛷️
Merci Nour Amara pour cette synthèse, très clair et structuré comme d'habitude. Effectivement, il faut un juste milieu entre la théorie et la pratique. On peut pas faire l'impasse sur la connaissance de sa cible.
Je suis d'accord avec vous deux. C'est un équilibre délicat à trouver entre action et réflexion. L'omnicanal, c'est bien, mais il faut pas se disperser non plus.
Pour illustrer l'importance des tests, je vous partage cette vidéo qui parle justement de l'importance de tester ses publicités pour optimiser ses campagnes. On y voit bien comment les tests permettent d'affiner sa stratégie et d'éviter de gaspiller son budget.
C'est tout à fait ça, Nour Amara. L'omnicanal, c'est super... à condition de pas s'éparpiller et de bien choisir ses batailles.
Et pour compléter ton idée sur les tests, je pense qu'il faut aussi penser à tester différents formats de contenu. On a tendance à se focaliser sur le texte, mais la vidéo, les podcasts, les infographies... y'a plein de possibilités à explorer pour toucher sa cible différemment. Et ça, ça passe aussi par des tests !
Complètement d'accord avec toi Visuelle38 sur la diversification des formats ! 🤩 C'est tellement facile de tomber dans une routine "texte" alors qu'il y a un monde à explorer. La vidéo, c'est top, mais faut pas négliger le podcast, surtout pour toucher les gens pendant leurs trajets ou activités. Et les infographies, ça cartonne pour synthétiser des infos complexes. Faut vraiment tester différentes approches et voir ce qui résonne le plus avec son audience. 📈
Oui enfin, "ce qui résonne le plus", c'est vite dit. Faut pas se leurrer, l'algo de chaque plateforme a aussi son importance, non ? On peut avoir le contenu le plus génial du monde, si l'algo nous enterre, ça sert pas à grand-chose. Faut aussi composer avec ça, et c'est pas toujours facile.
Si je résume bien, on a parlé de l'importance du ciblage et de l'authenticitée dans le message, mais aussi de l'approche pragmatique du growth hacking (tester, mesurer, ajuster). 🤓 L'omnicanalité a été abordée, avec la nécessité de ne pas se disperser. Sans oublier les tests de formats de contenu et la prise en compte des algorithmes des plateformes. On avance ! 🚀
le 15 Juin 2025
En parlant de budgets qui partent en fumée, c'est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin, non ? Surtout pour les PME qui n'ont pas les mêmes moyens que les gros poissons. Je pense que le ciblage, c'est la base. Si tu tires à la carabine sur une cible mouvante à 100 mètres, t'as peu de chances de toucher le mille. Faut connaître son audience sur le bout des doigts, leurs envies, leurs peurs... et adapter le message en conséquence. Un peu comme un caméléon du marketing, quoi !
le 16 Juin 2025
La Comtesse Cousteau a raison, cette image de l'aiguille dans la botte de foin est parlante. Cibler, c'est effectivement la base, mais je pense qu'il faut aussi insister sur la pertinence du message. Connaître son audience, c'est bien, mais encore faut-il avoir quelque chose d'intéressant à lui raconter. L'authenticité me semble également primordiale, surtout à notre époque où les consommateurs sont de plus en plus méfiants vis-à-vis des discours trop marketés.
le 16 Juin 2025
L'authenticité, oui, c'est un mot à la mode, mais je me demande si les consommateurs savent vraiment ce qu'ils veulent. On leur parle d'authenticité, alors ils disent que c'est ce qu'ils recherchent, mais au final, est-ce que ça se traduit vraiment en actes d'achat ? Je ne suis pas certaine. Il y a un décalage entre le discours et la réalité, je pense.
le 16 Juin 2025
Perso, je trouve que vous vous prenez trop la tête avec l'authenticitée et le ciblage. C'est bien beau de vouloir faire du "sur mesure" mais faut pas oublier que le temps c'est de l'argent. Et que les PME, elles ont pas forcément les moyens de se payer des études de marché poussées pour savoir ce que madame Michu a mangé au petit dej. On est pas chez L'Oréal là. Moi, je pense qu'il faut être pragmatique. Tester, mesurer, ajuster. C'est ça la clé. Le growth hacking, c'est pas de la magie, c'est du bon sens. On lance des campagnes, on regarde ce qui marche, ce qui marche pas, et on adapte en conséquence. Faut arrêter de se poser 36 000 questions et foncer. C'est en forgeant qu'on devient forgeron, non ? Et puis faut pas croire tout ce qu'on lit dans les articles sur le marketing. La plupart du temps, c'est du blabla pour vendre des formations ou des outils inutiles. Je dis pas que tout est à jeter, mais faut garder un esprit critique. Et surtout, faut pas avoir peur de se planter. L'échec, ça fait partie du jeu. J'ai lu un truc intéressant, je sais plus où, qui parlait de "quick wins". Des actions simples à mettre en place et qui peuvent rapporter gros rapidement. C'est ça qu'il faut viser au début. Pas besoin de se lancer dans des trucs compliqués et coûteux. Et en parlant de liens, j'ai trouvé ça https://www.mediadi.fr/ faut pas hésiter a checker les sources pour avoir une approche simple. Faut tester des trucs, et itérer rapidement ! Faut un peu d'agilité, d'audace et beaucoup, beaucoup de café. Voila, c'est mon avis et je le partage. Après, chacun fait ce qu'il veut, hein.
le 17 Juin 2025
Lara Croft, ton approche pragmatique me parle pas mal. C'est vrai que parfois, on se perd dans des considérations théoriques alors que le terrain, c'est là que ça se passe. Tester, mesurer, ajuster, c'est la base du growth hacking, et je suis d'accord que c'est du bon sens. 😉 Par contre, je pense qu'il y a un juste milieu à trouver. Tu dis qu'il ne faut pas se prendre la tête avec l'authenticité et le ciblage, mais si on tire dans tous les sens sans savoir à qui on parle, on risque de gaspiller pas mal de ressources. Même si on n'a pas les moyens de se payer des études de marché poussées, il y a des outils simples et peu coûteux pour mieux connaître son audience. Par exemple, les données de navigation sur son site web, les statistiques des réseaux sociaux, ou même des sondages en ligne. Ces infos peuvent donner des indications précieuses sur les préférences et les comportements d'achat des clients. 📊 L'article que j'ai lu récemment sur le sujet mettait en avant l'importance d'une stratégie omnicanale. L'idée, c'est d'être présent sur tous les canaux de communication pertinents pour son business (réseaux sociaux, site web, application mobile, email, etc.) et de proposer une expérience client unifiée et personnalisée. On parle d'augmentation des ventes, d'optimisation des opérations et d'un renforcement de l'image de marque. Après, je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il faut tester des "quick wins" et itérer rapidement. C'est en faisant des erreurs qu'on apprend, et il ne faut pas avoir peur de se lancer. Mais je pense qu'il est quand même important d'avoir une vision claire de son audience et de ses objectifs avant de se lancer tête baissée. C'est comme en ski alpin, tu peux foncer à toute vitesse, mais si tu ne sais pas où tu vas, tu risques de te planter. ⛷️
le 17 Juin 2025
Merci Nour Amara pour cette synthèse, très clair et structuré comme d'habitude. Effectivement, il faut un juste milieu entre la théorie et la pratique. On peut pas faire l'impasse sur la connaissance de sa cible.
le 17 Juin 2025
Je suis d'accord avec vous deux. C'est un équilibre délicat à trouver entre action et réflexion. L'omnicanal, c'est bien, mais il faut pas se disperser non plus. Pour illustrer l'importance des tests, je vous partage cette vidéo qui parle justement de l'importance de tester ses publicités pour optimiser ses campagnes. On y voit bien comment les tests permettent d'affiner sa stratégie et d'éviter de gaspiller son budget.
le 18 Juin 2025
C'est tout à fait ça, Nour Amara. L'omnicanal, c'est super... à condition de pas s'éparpiller et de bien choisir ses batailles. Et pour compléter ton idée sur les tests, je pense qu'il faut aussi penser à tester différents formats de contenu. On a tendance à se focaliser sur le texte, mais la vidéo, les podcasts, les infographies... y'a plein de possibilités à explorer pour toucher sa cible différemment. Et ça, ça passe aussi par des tests !
le 18 Juin 2025
Complètement d'accord avec toi Visuelle38 sur la diversification des formats ! 🤩 C'est tellement facile de tomber dans une routine "texte" alors qu'il y a un monde à explorer. La vidéo, c'est top, mais faut pas négliger le podcast, surtout pour toucher les gens pendant leurs trajets ou activités. Et les infographies, ça cartonne pour synthétiser des infos complexes. Faut vraiment tester différentes approches et voir ce qui résonne le plus avec son audience. 📈
le 18 Juin 2025
Oui enfin, "ce qui résonne le plus", c'est vite dit. Faut pas se leurrer, l'algo de chaque plateforme a aussi son importance, non ? On peut avoir le contenu le plus génial du monde, si l'algo nous enterre, ça sert pas à grand-chose. Faut aussi composer avec ça, et c'est pas toujours facile.
le 18 Juin 2025
Si je résume bien, on a parlé de l'importance du ciblage et de l'authenticitée dans le message, mais aussi de l'approche pragmatique du growth hacking (tester, mesurer, ajuster). 🤓 L'omnicanalité a été abordée, avec la nécessité de ne pas se disperser. Sans oublier les tests de formats de contenu et la prise en compte des algorithmes des plateformes. On avance ! 🚀