Salut Krystallos,
Les cailloux, parlons-en ! C'est clair que l'autonomie, c'est giga tentant, mais faut pas se leurrer, y a des jours où tu te demandes si t'as bien fait de quitter le confort (relatif !) du salariat.
La gestion de la clientèle, par exemple. Au début, t'es content d'avoir *un* client. Puis tu réalises qu'il faut en trouver d'autres, et là, c'est la prospection à gogo. Et entre ceux qui te font lanterner pour le paiement, ceux qui changent d'avis toutes les cinq minutes, et ceux qui te prennent pour leur larbin, faut avoir les nerfs solides.
La stabilité financière, c'est un serpent de mer. Tu peux avoir un mois à 5000 balles, et le mois suivant, c'est le désert de Gobi. Perso, j'ai mis en place un système où je mets de côté 30% de chaque facture encaissée, direct sur un compte dédié. Ça me permet de dormir un peu mieux la nuit.
L'administratif, n'en parlons pas. Entre les factures, les déclarations à l'URSSAF, la TVA... Je me suis fait un tableur Excel, sinon je suis vite larguée. Et si tu veux pas te prendre la tête, tu peux opter pour un comptable, mais ça a un coût, forcément.
L'organisation du travail, c'est aussi un challenge. Au début, tu te dis que tu vas bosser en pyjama toute la journée. Sauf que tu finis par glander sur les réseaux sociaux, et ta journée est foutue. Se fixer des horaires, des objectifs clairs, c'est indispensable. Moi, j'utilise la méthode Pomodoro (25 minutes de travail, 5 minutes de pause), ça m'aide pas mal.
L'isolement professionnel, c'est un truc qu'on sous-estime souvent. Bosser seul chez soi, c'est bien au début, mais à la longue, ça peut peser. D'où l'importance de se faire un réseau, de participer à des événements, de papoter avec d'autres freelances. Les espaces de coworking, c'est pas mal non plus pour ça.
Bref, être freelance, c'est génial, mais faut être conscient des difficultés. Mais si t'es motivé et bien organisé, ça peut vraiment valoir le coup.
CatcherQueen63 a raison, c'est un peu la jungle. Je rajouterais un truc auquel on pense pas toujours : la gestion de sa santé. Quand t'es salarié, t'as la sécu de base, la mutuelle... En freelance, faut souvent tout gérer soi-même, et crois-moi, quand t'as un souci, ça peut vite devenir un vrai bordel si t'as pas anticipé. Alors, check tes assurances, ta prévoyance, etc. C'est pas le truc le plus fun, mais c'est hyper important pour avoir l'esprit tranquille.
Nour Amara met le doigt sur un truc essentiel : la santé. On est tellement pris par le reste qu'on oublie qu'on est notre propre outil de travail. Si on tombe, tout s'arrête. Et là, bonjour les galères.
Je vais même aller plus loin. La prévoyance, c'est bien, mais la *prévention*, c'est mieux. Combien de freelances je connais qui carburent au Red Bull et aux pizzas pour tenir le rythme ? Résultat : burn-out assuré.
Faut voir son corps comme un investissement. Si t'investis pas dedans, il va finir par te lâcher. Et là, c'est pas juste une facture de médecin, c'est ton business qui en prend un coup. Imagine, tu es cloué au lit pendant deux semaines. Tu perds des clients, tu prends du retard, et ton chiffre d'affaires s'effondre. D'après une étude récente, les freelances qui n'investissent pas dans leur bien-être ont 40% de chances de plus de voir leur revenu annuel diminuer de plus de 15% en cas de problème de santé.
Donc, on fait quoi concrètement ? On bouge son cul. Une heure de sport par jour, c'est non négociable. On mange des légumes, on dort suffisamment. On prend des pauses régulières pour détendre le cerveau. Perso, je médite 10 minutes tous les matins, et ça change ma journée. J'ai lu que la méditation régulière pouvait améliorer la concentration de 20% et réduire le stress de 30%. Des chiffres qui parlent, non ?
Et surtout, on apprend à dire non. Non aux clients toxiques, non aux projets mal payés, non aux heures sup' non rémunérées. Protéger son temps et son énergie, c'est la clé pour durer dans ce métier.
Si tu veux cartonner en freelance, pense à ton capital santé. C'est ton meilleur atout.
Hello Krystallos,
C'est marrant, quand je vois ta question, ça me rappelle mes débuts. Tellement d'enthousiasme, mais aussi tellement d'appréhension !
Tout ce qui a été dit est super pertinent, surtout la partie sur la santé et l'isolement. Moi, ce qui m'a vraiment frappée, c'est le côté "chef d'orchestre" qu'on doit endosser. On n'est plus juste un exécutant, on est responsable de tout, de A à Z. Et ça, ça demande des compétences qu'on n'a pas forcément au départ.
Par exemple, la vente. Perso, j'ai toujours détesté ça. J'ai l'impression de me vendre, de me brader. Mais en freelance, faut s'y faire, c'est indispensable. Faut savoir se présenter, convaincre, négocier. Et ça, ça s'apprend. J'ai suivi des formations en ligne, lu des bouquins, regardé des vidéos. Et puis, surtout, j'ai pratiqué, encore et encore. Au début, c'était laborieux, j'avais l'impression de réciter un texte. Mais au fur et à mesure, j'ai trouvé mon propre style, ma propre façon de faire. Maintenant, j'y prends même un certain plaisir, j'avoue.
Autre compétence essentielle : la gestion de projet. Quand t'es salarié, t'as souvent un chef de projet qui te briefe, qui te donne des deadlines, qui te suit. En freelance, c'est toi le chef. Faut savoir organiser son travail, prioriser les tâches, respecter les délais. Et ça, c'est pas toujours évident, surtout quand t'as plusieurs projets en même temps. Moi, j'utilise un outil de gestion de projet en ligne, ça m'aide pas mal. Et puis, je me fixe des objectifs clairs, réalisables, avec des étapes intermédiaires. Ça me permet de garder le cap et de ne pas me laisser déborder.
Et puis, il y a tout l'aspect juridique et administratif. Les contrats, les CGV, la facturation, la compta... C'est un vrai labyrinthe. Au début, j'étais complètement perdue. J'ai failli me faire arnaquer plusieurs fois. Maintenant, je suis plus vigilante. Je fais relire mes contrats par un avocat, je me suis abonnée à une newsletter juridique, et je suis les conseils d'un expert-comptable. Ça me coûte un peu d'argent, mais ça me permet d'éviter les mauvaises surprises. D'ailleurs, il est important de bien se renseigner avant de se lancer, il existe des sites spécialisés qui peuvent vous aider, comme etre freelance.
Donc, pour résumer, les principaux défis, selon moi, c'est : la vente, la gestion de projet, l'administratif, et la capacité à endosser le rôle de chef d'orchestre. Mais si t'es prêt à te former, à apprendre, à te remettre en question, alors le freelance peut être une aventure extraordinaire.
En tout cas, bon courage pour ta prise de décision !
Manini a raison, le côté "chef d'orchestre", c'est exactement ça ! 😅 C'est hyper complet comme réponse. Pour compléter, je pense que cette vidéo de Les Meilleurs Filières pourrait aussi aider Krystallos à se faire une idée plus précise des avantages et des inconvénients du travail en ligne :
C'est pas toujours tout rose, mais c'est une aventure qui vaut le coup si on est bien préparé ! 😉
Nour Amara, cool la vidéo ! Ça résume bien les tenants et aboutissants. Ceci dit, je trouve que ça manque d'un truc essentiel : la discipline mentale. On parle beaucoup des compétences techniques, de la gestion de projet, de la prospection... Mais si t'as pas le mental d'acier, t'es foutu. Et c'est là que le bât blesse pour beaucoup de jeunes qui se lancent, je pense.
On voit fleurir des tonnes de formations "deviens freelance en 3 mois et gagne 10k par mois". Bullshit intégral. Le succès en freelance, c'est 80% de mindset et 20% de compétences techniques. Faut être prêt à encaisser les refus, les critiques, les périodes de vaches maigres. Faut savoir se relever après chaque échec, apprendre de ses erreurs, et continuer à avancer malgré les obstacles. C'est un marathon, pas un sprint.
Et ça, ça se travaille. Faut se forger un mental à toute épreuve. Lire des bouquins de développement personnel, suivre des coachings, s'entourer de personnes positives et motivantes. Perso, j'ai mis en place une routine matinale qui me permet de démarrer la journée du bon pied : méditation, visualisation, lecture de citations inspirantes. Ça peut paraître gnangnan, mais ça fait une différence énorme sur le long terme.
J'ai vu passer une étude qui disait que les freelances qui pratiquent une activité physique régulière ont 50% moins de chances de souffrir de burn-out. Et ceux qui ont une routine matinale structurée sont 30% plus productifs. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Investir dans son mental, c'est aussi important que d'investir dans son business. C'est même la base, en fait.
Alors oui, la vidéo est sympa, mais je pense qu'il faudrait insister davantage sur cet aspect. Le freelance, c'est pas juste une question de compétences, c'est surtout une question d'état d'esprit. Faut être un warrior, un survivant. Et ça, ça se travaille tous les jours.
CatcherQueen63, t'as raison de souligner ça. On a vite tendance à se focaliser sur les compétences techniques ou le business plan, mais sans la bonne mentalité, on risque de se casser la figure. L'aspect psychologique est souvent sous-estimé, et c'est dommage.
C'est clair que l'aspect psychologique est hyper important. On en parle jamais assez, on dirait qu'il faut faire semblant d'être une machine pour réussir !
Mais bon, c'est un peu notre faute aussi, on met tellement en avant les success stories qu'on finit par oublier que derrière chaque "succès", il y a des heures de doutes, de remises en question, de galères. Je pense qu'il faudrait plus d'authenticité dans les témoignages, qu'on ose dire que c'est pas toujours facile, que parfois on a envie de tout plaquer.
En tout cas, merci pour ton retour, Krystallos !
Manini, tellement d'accord avec ton dernier paragraphe! 👍 On a cette pression de devoir toujours montrer une image parfaite, alors que la réalité est souvent bien plus nuancée... Et c'est tellement plus sain d'assumer les moments de doute. Merci pour cette honnêteté ! 🙏
le 29 Novembre 2025
Salut Krystallos, Les cailloux, parlons-en ! C'est clair que l'autonomie, c'est giga tentant, mais faut pas se leurrer, y a des jours où tu te demandes si t'as bien fait de quitter le confort (relatif !) du salariat. La gestion de la clientèle, par exemple. Au début, t'es content d'avoir *un* client. Puis tu réalises qu'il faut en trouver d'autres, et là, c'est la prospection à gogo. Et entre ceux qui te font lanterner pour le paiement, ceux qui changent d'avis toutes les cinq minutes, et ceux qui te prennent pour leur larbin, faut avoir les nerfs solides. La stabilité financière, c'est un serpent de mer. Tu peux avoir un mois à 5000 balles, et le mois suivant, c'est le désert de Gobi. Perso, j'ai mis en place un système où je mets de côté 30% de chaque facture encaissée, direct sur un compte dédié. Ça me permet de dormir un peu mieux la nuit. L'administratif, n'en parlons pas. Entre les factures, les déclarations à l'URSSAF, la TVA... Je me suis fait un tableur Excel, sinon je suis vite larguée. Et si tu veux pas te prendre la tête, tu peux opter pour un comptable, mais ça a un coût, forcément. L'organisation du travail, c'est aussi un challenge. Au début, tu te dis que tu vas bosser en pyjama toute la journée. Sauf que tu finis par glander sur les réseaux sociaux, et ta journée est foutue. Se fixer des horaires, des objectifs clairs, c'est indispensable. Moi, j'utilise la méthode Pomodoro (25 minutes de travail, 5 minutes de pause), ça m'aide pas mal. L'isolement professionnel, c'est un truc qu'on sous-estime souvent. Bosser seul chez soi, c'est bien au début, mais à la longue, ça peut peser. D'où l'importance de se faire un réseau, de participer à des événements, de papoter avec d'autres freelances. Les espaces de coworking, c'est pas mal non plus pour ça. Bref, être freelance, c'est génial, mais faut être conscient des difficultés. Mais si t'es motivé et bien organisé, ça peut vraiment valoir le coup.
le 29 Novembre 2025
CatcherQueen63 a raison, c'est un peu la jungle. Je rajouterais un truc auquel on pense pas toujours : la gestion de sa santé. Quand t'es salarié, t'as la sécu de base, la mutuelle... En freelance, faut souvent tout gérer soi-même, et crois-moi, quand t'as un souci, ça peut vite devenir un vrai bordel si t'as pas anticipé. Alors, check tes assurances, ta prévoyance, etc. C'est pas le truc le plus fun, mais c'est hyper important pour avoir l'esprit tranquille.
le 29 Novembre 2025
Nour Amara met le doigt sur un truc essentiel : la santé. On est tellement pris par le reste qu'on oublie qu'on est notre propre outil de travail. Si on tombe, tout s'arrête. Et là, bonjour les galères. Je vais même aller plus loin. La prévoyance, c'est bien, mais la *prévention*, c'est mieux. Combien de freelances je connais qui carburent au Red Bull et aux pizzas pour tenir le rythme ? Résultat : burn-out assuré. Faut voir son corps comme un investissement. Si t'investis pas dedans, il va finir par te lâcher. Et là, c'est pas juste une facture de médecin, c'est ton business qui en prend un coup. Imagine, tu es cloué au lit pendant deux semaines. Tu perds des clients, tu prends du retard, et ton chiffre d'affaires s'effondre. D'après une étude récente, les freelances qui n'investissent pas dans leur bien-être ont 40% de chances de plus de voir leur revenu annuel diminuer de plus de 15% en cas de problème de santé. Donc, on fait quoi concrètement ? On bouge son cul. Une heure de sport par jour, c'est non négociable. On mange des légumes, on dort suffisamment. On prend des pauses régulières pour détendre le cerveau. Perso, je médite 10 minutes tous les matins, et ça change ma journée. J'ai lu que la méditation régulière pouvait améliorer la concentration de 20% et réduire le stress de 30%. Des chiffres qui parlent, non ? Et surtout, on apprend à dire non. Non aux clients toxiques, non aux projets mal payés, non aux heures sup' non rémunérées. Protéger son temps et son énergie, c'est la clé pour durer dans ce métier. Si tu veux cartonner en freelance, pense à ton capital santé. C'est ton meilleur atout.
le 29 Novembre 2025
Hello Krystallos, C'est marrant, quand je vois ta question, ça me rappelle mes débuts. Tellement d'enthousiasme, mais aussi tellement d'appréhension ! Tout ce qui a été dit est super pertinent, surtout la partie sur la santé et l'isolement. Moi, ce qui m'a vraiment frappée, c'est le côté "chef d'orchestre" qu'on doit endosser. On n'est plus juste un exécutant, on est responsable de tout, de A à Z. Et ça, ça demande des compétences qu'on n'a pas forcément au départ. Par exemple, la vente. Perso, j'ai toujours détesté ça. J'ai l'impression de me vendre, de me brader. Mais en freelance, faut s'y faire, c'est indispensable. Faut savoir se présenter, convaincre, négocier. Et ça, ça s'apprend. J'ai suivi des formations en ligne, lu des bouquins, regardé des vidéos. Et puis, surtout, j'ai pratiqué, encore et encore. Au début, c'était laborieux, j'avais l'impression de réciter un texte. Mais au fur et à mesure, j'ai trouvé mon propre style, ma propre façon de faire. Maintenant, j'y prends même un certain plaisir, j'avoue. Autre compétence essentielle : la gestion de projet. Quand t'es salarié, t'as souvent un chef de projet qui te briefe, qui te donne des deadlines, qui te suit. En freelance, c'est toi le chef. Faut savoir organiser son travail, prioriser les tâches, respecter les délais. Et ça, c'est pas toujours évident, surtout quand t'as plusieurs projets en même temps. Moi, j'utilise un outil de gestion de projet en ligne, ça m'aide pas mal. Et puis, je me fixe des objectifs clairs, réalisables, avec des étapes intermédiaires. Ça me permet de garder le cap et de ne pas me laisser déborder. Et puis, il y a tout l'aspect juridique et administratif. Les contrats, les CGV, la facturation, la compta... C'est un vrai labyrinthe. Au début, j'étais complètement perdue. J'ai failli me faire arnaquer plusieurs fois. Maintenant, je suis plus vigilante. Je fais relire mes contrats par un avocat, je me suis abonnée à une newsletter juridique, et je suis les conseils d'un expert-comptable. Ça me coûte un peu d'argent, mais ça me permet d'éviter les mauvaises surprises. D'ailleurs, il est important de bien se renseigner avant de se lancer, il existe des sites spécialisés qui peuvent vous aider, comme etre freelance. Donc, pour résumer, les principaux défis, selon moi, c'est : la vente, la gestion de projet, l'administratif, et la capacité à endosser le rôle de chef d'orchestre. Mais si t'es prêt à te former, à apprendre, à te remettre en question, alors le freelance peut être une aventure extraordinaire. En tout cas, bon courage pour ta prise de décision !
le 30 Novembre 2025
Manini a raison, le côté "chef d'orchestre", c'est exactement ça ! 😅 C'est hyper complet comme réponse. Pour compléter, je pense que cette vidéo de Les Meilleurs Filières pourrait aussi aider Krystallos à se faire une idée plus précise des avantages et des inconvénients du travail en ligne :
C'est pas toujours tout rose, mais c'est une aventure qui vaut le coup si on est bien préparé ! 😉
le 30 Novembre 2025
Nour Amara, cool la vidéo ! Ça résume bien les tenants et aboutissants. Ceci dit, je trouve que ça manque d'un truc essentiel : la discipline mentale. On parle beaucoup des compétences techniques, de la gestion de projet, de la prospection... Mais si t'as pas le mental d'acier, t'es foutu. Et c'est là que le bât blesse pour beaucoup de jeunes qui se lancent, je pense. On voit fleurir des tonnes de formations "deviens freelance en 3 mois et gagne 10k par mois". Bullshit intégral. Le succès en freelance, c'est 80% de mindset et 20% de compétences techniques. Faut être prêt à encaisser les refus, les critiques, les périodes de vaches maigres. Faut savoir se relever après chaque échec, apprendre de ses erreurs, et continuer à avancer malgré les obstacles. C'est un marathon, pas un sprint. Et ça, ça se travaille. Faut se forger un mental à toute épreuve. Lire des bouquins de développement personnel, suivre des coachings, s'entourer de personnes positives et motivantes. Perso, j'ai mis en place une routine matinale qui me permet de démarrer la journée du bon pied : méditation, visualisation, lecture de citations inspirantes. Ça peut paraître gnangnan, mais ça fait une différence énorme sur le long terme. J'ai vu passer une étude qui disait que les freelances qui pratiquent une activité physique régulière ont 50% moins de chances de souffrir de burn-out. Et ceux qui ont une routine matinale structurée sont 30% plus productifs. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Investir dans son mental, c'est aussi important que d'investir dans son business. C'est même la base, en fait. Alors oui, la vidéo est sympa, mais je pense qu'il faudrait insister davantage sur cet aspect. Le freelance, c'est pas juste une question de compétences, c'est surtout une question d'état d'esprit. Faut être un warrior, un survivant. Et ça, ça se travaille tous les jours.
le 30 Novembre 2025
Merci ApexNomad1 pour ton point de vue, c'est vrai qu'on occulte souvent l'aspect mental alors que c'est le nerf de la guerre !
le 01 Décembre 2025
CatcherQueen63, t'as raison de souligner ça. On a vite tendance à se focaliser sur les compétences techniques ou le business plan, mais sans la bonne mentalité, on risque de se casser la figure. L'aspect psychologique est souvent sous-estimé, et c'est dommage.
le 01 Décembre 2025
C'est clair que l'aspect psychologique est hyper important. On en parle jamais assez, on dirait qu'il faut faire semblant d'être une machine pour réussir ! Mais bon, c'est un peu notre faute aussi, on met tellement en avant les success stories qu'on finit par oublier que derrière chaque "succès", il y a des heures de doutes, de remises en question, de galères. Je pense qu'il faudrait plus d'authenticité dans les témoignages, qu'on ose dire que c'est pas toujours facile, que parfois on a envie de tout plaquer. En tout cas, merci pour ton retour, Krystallos !
le 01 Décembre 2025
Manini, tellement d'accord avec ton dernier paragraphe! 👍 On a cette pression de devoir toujours montrer une image parfaite, alors que la réalité est souvent bien plus nuancée... Et c'est tellement plus sain d'assumer les moments de doute. Merci pour cette honnêteté ! 🙏